Les costumes nationaux les plus sauvages du 72e concours annuel de Miss Univers

Les costumes nationaux les plus spectaculaires du 72e concours annuel de Miss Univers

• Le concours du costume Miss Univers a eu lieu au Salvador jeudi soir.
• Les candidates ont participé à la célébration annuelle de leurs cultures avec des looks colorés et audacieux.
• Les looks phares de l’événement comprenaient des motifs colorés, des plumes et des découpes audacieuses.

Le concours Miss Univers 2023 est en plein essor, avec 84 candidates pleines d’espoir réunies au Salvador pour concourir pour le plus grand titre des concours de beauté.

Les finales de Miss Univers auront lieu samedi. Cependant, jeudi, les candidates ont participé au concours annuel du costume.

Le concours du costume est toujours un temps fort du concours de beauté, car il donne aux participantes la possibilité de rendre hommage à leur pays avec des ensembles accrocheurs.

Cette année, les prétendantes à Miss Univers ont porté des tenues allant des plumes sur tout le corps aux pièces arrière élaborées.

Demneri, un mannequin qui a défilé pour Dolce & Gabbana, a ouvert le concours du costume national avec des ailes spectaculaires.

Le costume national de la jeune femme de 24 ans était conçu pour ressembler à un aigle, qui apparaît sur le drapeau de l’Albanie. Le body de Demneri était recouvert de plumes noires et rouges – les couleurs du drapeau – et ses grandes ailes étaient ornées de plumes dorées scintillantes, symbolisant la prospérité de l’Albanie. La tenue était complétée par une coiffe d’aigle.

Le costume de Coimbra, conçu par Poly Poly da Rocha, présentait une jupe volantée jaune vif avec un motif bleu, vert et rouge. Des perles colorées assorties à la jupe étaient drapées sur ses épaules, et posée sur la tête de Coimbra se trouvait un panier tissé coloré. Alors que la mannequin de 23 ans traversait la scène, elle soulevait les bords de son immense train pour révéler une illustration d’une femme Mumuhuila sur le dos.

Sur son Instagram, Coimbra a déclaré que les femmes de la tribu Mumuhuila sont connues pour leurs tissus colorés. Dans le village, elles portent des ornements, notamment des perles, des paniers de tête, des colliers et des ceintures, pour afficher leur statut marital. Coimbra a également précisé que sa tenue était fabriquée à partir de matériaux recyclés, tels que du carton, du plastique et des morceaux de pneus usagés.

Le costume de Dajud s’inspirait du “Sol de Mayo”, un emblème national argentin qui figure sur le drapeau du pays. Il représente le dieu soleil inca.

Le mannequin de 27 ans portait une robe dorée scintillante ornée de franges étincelantes. Elle portait une coiffe spectaculaire avec des plumes jaunes vives et oranges, représentant les rayons du soleil. Dajud a accessoirisé sa tenue avec une cape blanche et bleue ornée d’une illustration du Sol de Mayo.

Le costume de Croes, conçu par Alfredo Barraza, était composé d’un ensemble rouge scintillant recouvert de perles. Le mannequin international de 27 ans a associé sa tenue à une cape bleue et dorée, un accessoire orné de plantes et de fleurs sur la tête, ainsi qu’un oiseau factice étincelant qu’elle tenait tout en défilant sur scène.

Pendant le spectacle, les présentateurs ont déclaré que la tenue de Croes était inspirée d’une reine indigène qui protège la planète et résiste “à la menace du changement climatique”.

Le costume national d’Ingraham était composé d’une jupe volumineuse de bal à plusieurs épaisseurs de tulle bleu scintillant et noir, avec des motifs en perles et des nœuds sur le côté.

La scientifique de l’environnement de 26 ans a associé la jupe à un haut court assorti orné de manches dramatiques détachées et à un grand chapeau de soleil à large bord recouvert de tulle vert vif. Elle a complété sa tenue avec un éventail en feuille de palmier.

Le costume de Rivero, fabriqué à partir de matériaux recyclés, était composé de perles rouges, bleues et jaunes qui recouvraient son deux-pièces. Elle a associé cette tenue à une cape dorée scintillante et à un accessoire de tête spectaculaire orné de grandes plumes bleues.

L’architecte de 26 ans a également porté un bâton avec un oiseau factice. Rivero, qui appartient au peuple indigène des Mojeño, utilise sa plateforme Miss Univers pour militer en faveur de la protection de l’ara de Buffon en Bolivie.

Brechane a défilé sur scène dans un costume rendant hommage à l’ara bleue du Brésil. Les présentateurs ont déclaré pendant le spectacle que la tenue de Brechane était un “message de conservation”.

Le mannequin et étudiante en journalisme de 19 ans portait une combinaison à plumes bleues et jaunes conçue pour ressembler à un ara, avec un faux accessoire de tête représentant l’oiseau. Elle portait une cape et des ailes à plumes flottantes, avec deux faux aras supplémentaires perchés sur chaque épaule.

La jeune femme de 30 ans, qui dirige une école de mannequinat pour enfants, a rendu hommage à la plus grande espèce de rapace nocturne de Bulgarie avec sa tenue, fabriquée à partir de plumes synthétiques. Le costume de Pavlikova était composé d’une robe en or métallique et d’ailes assorties, qu’elle a associées à un spectaculaire accessoire de tête scintillant en or.

Pendant le concours, les présentateurs ont expliqué que la chouette dorée symbolise le courage et l’intrépidité.

Princesse, une étudiante de 23 ans, arborait un deux-pièces rouge et doré avec une longue traîne rouge lors de son passage sur la scène de Miss Univers. Mais la vraie star de son costume – conçu par Alex Hernandez et Alfaro Enrique – était l’accessoire du dos, qui présentait des photos des femmes ayant eu un impact dans le mouvement d’autonomisation des femmes au Cameroun. Les photos étaient encadrées de plumes rouges, jaunes ou vertes, les couleurs du drapeau du Cameroun.

Les présentateurs ont déclaré que la tenue de Princesse était conçue pour “inspirer les filles qui ne croient pas encore en elles-mêmes qu’elles aussi peuvent changer le monde”.

Kvaltin, une propriétaire d’entreprise de 28 ans, portait une robe principalement ornée de perles rouges et blanches, avec des accents de jaune, bleu et vert. Sa jupe sirène comportait les drapeaux de différents pays, et des drapeaux flottaient également depuis son imposant accessoire dorsal conçu pour ressembler à une feuille d’érable – le symbole national du Canada. Sur le dos de la feuille, on pouvait lire les mots “L’inclusivité réalise les rêves”.

Sur Instagram, Kvaltin a déclaré que son costume avait pour but de représenter la “diversité, l’acceptation et le multiculturalisme” du Canada. Les drapeaux sur sa tenue rendaient hommage aux autres pays participants à Miss Univers.

Viel, un coach de santé agréé, s’est déguisé en condor – l’oiseau national du Chili – pour la partie des costumes de la compétition. Elle portait une combinaison semi-transparente ornée de paillettes et de perles, un chapeau décoré pour ressembler au visage de l’oiseau, et des ailes massives fabriquées à partir de plumes.

La tenue a été créée par l’artiste Garay Kelvin.

Mannequin et défenseuse de la faune sauvage, Brenes a utilisé son costume pour mettre en valeur la beauté des plages et de la vie marine costaricaines. Sa combinaison sans manches était ornée de rangées de perles le long de ses découpes, d’un corsage nacré qui reflétait l’océan scintillant, et d’une longue traîne bleue qui ressemblait à une vague.

Elle portait également une couronne en forme de coquillage et tenait un trident.

Avec une combinaison à peine visible en cristaux, Rossen a également recouvert ses jambes de maquillage doré pour créer un look inspiré des Jeux olympiques. En guise d’accessoires, elle tenait une version de la torche olympique et portait les anneaux olympiques sur ses épaules.

Le costume a été réalisé pour la thérapeute occupationnelle par le designer Guilherme Alves.

Hansen, qui possède un diplôme en marketing et en économie, s’est inspirée de la légende du dragon marin chère à la culture viking nordique pour son costume, comme elle l’a partagé sur Instagram.

Sa robe était ornée d’une multitude de couleurs et de motifs, se rejoignant pour former une coiffe de dragon sur le dessus de sa tête. Un accessoire dorsal dans une gamme de bleus donnait l’impression que le dragon nageait dans l’océan.

Le look a été conçu par Neftali Jahaziel Espinoza⁩ et Stalyn Nuñez.

Stoffers, un mannequin, incarne les chemins de fer de l’Équateur avec son ensemble, portant une combinaison bleue pailletée et un élément arrière qui ressemble à une voiture de train, se fondant dans un train de chemin de fer.

Elle porte une coiffe qui ressemble à un phare de train, complétant l’illusion.

L’ensemble de García-Manzo a été conçu par Marina Toybina pour ressembler à un volcan, avec sa robe de bal allant du rouge au noir cendré.

Des lumières étaient intégrées à la coiffe dorée, à la robe et à l’élément arrière circulaire, et différentes parties s’allumaient lorsque qu’elle défilait, créant l’illusion d’une éruption volcanique.

Leyre, un mannequin et co-animatrice de radio, a remercié la production de scène sur son histoire Instagram, où elle a également partagé une vidéo de son costume.

L’ensemble entièrement rose comprenait un bikini orné de strass, un collier assorti avec des manches, des bottes au-dessus du genou et une cape de fourrure déclarative qui s’étendait de son dos.

Son élément arrière était semi-transparent avec trois pétales blancs qui correspondaient à ceux de La Monja Blanca, l’orchidée qui est la fleur nationale du Guatemala.

Cohn, la première mère à participer au concours de Miss Univers, portait également des collants couverts de cristaux, des bracelets en maille, un justaucorps jaune orné de bijoux et une couronne déclarative.

L’ensemble de Narine – qui représente la faune et la flore de sa maison – était composé d’une variété d’animaux factices, de feuilles et de nénuphars géants, la fleur nationale du Guyana. Le costume massif était monté sur des roues et enveloppé autour de sa taille pour qu’elle puisse le déplacer sur scène.

L’étudiante en relations internationales complétait le look avec des sandales et une mini-robe pastel, toutes deux ornées d’applications florales.

Clemente, une star de la télévision et étudiante en marketing, portait une robe et des bracelets fabriqués à partir du même tissu à carreaux, ainsi qu’une couronne et un élément arrière ornés de plumes colorées.

Le designer Danilo García a déclaré sur Instagram que le costume s’appelle “Artesanía Lenca, Orgullo Catracho”, ou “Artisanat Lenca, Fierté Catracho”. Il représente l’art du peuple lenca et la fierté hondurienne.

Groeneveld, diplômée en commerce international, est montée sur scène dans un ensemble métallique qui ressemblait presque à une armure. Il comprenait des manches en résille, des collants ornés de dentelle, un corsage imprimé et un élément arrière qui s’étendait sur sa tête.

Bubah Alfian, son maquilleur et créateur du costume, a déclaré sur Instagram que les parties noires de la tenue représentaient les moments les plus sombres de Groeneveld, tandis que les pièces dorées montraient sa dignité et sa beauté intérieure.

Akorede a déclaré sur Instagram que sa tenue tout en bleu, conçue par Claire Garvey, était inspirée du gardien des mers irlandaises. Sa cape bleue en cascade, ses franges brodées et son tissu métallique étaient censés imiter les vagues et les gouttes, et l’ensemble de la tenue représentait la nécessité de protéger nos eaux.

La candidate, qui travaille en tant que consultante en conformité d’entreprise et mannequin, a noté sur Instagram qu’elle souhaite que son costume serve de “mot d’ordre”.

Levy portait un body bleu avec des manchettes et des pièces de peplum dans une nuance de bleu métallique. La tenue de la médecin était également ornée en haut de paillettes multicolores, de perles et de poissons, qui correspondaient tous à son imposant coiffe.

Sur Instagram, Miss Universe Jamaica a déclaré que la tenue était inspirée de la résilience de Port Royal, une ville en Jamaïque, et de la vie marine présente dans la région. Elle représente également l’impact du changement climatique sur le site du patrimoine national.

Le mannequin et étudiante en marketing portait un corset en cuir marron avec une ceinture de style nœud et des manches bouffantes de couleur crème, ainsi qu’une jupe longue à volants en tulle.

Le créateur Vonama Arzubek a déclaré sur Instagram que la tenue était inspirée de l’héroïne nationale du Kazakhstan, Tomiris, avec qui Zair partage un nom, et des aigles Berkut.

Lathsabanthao a à cœur de partager les métiers traditionnels du Laos, comme le tissage, avec le monde entier. C’est ce qui a inspiré son costume, qui comprenait une tenue en deux pièces de couleur rouge foncé, ornée de perles, ainsi qu’un élément dorsal ressemblant à un bâtiment avec des vêtements tissés suspendus de chaque côté.

Lathsabanthao a déclaré sur Instagram que le costume devait montrer le lien entre les femmes lao et les textiles et représenter son expérience personnelle du tissage avec sa mère.

Inspirée par les marguerites, Alexeeva portait un justaucorps étincelant avec une mini-jupe à franges, des bottes vertes jusqu’aux cuisses, une jupe à volants qui enveloppait ses fesses et une pièce d’épaule en pétales blanches.

Alexeeva, mannequin et globe-trotteuse, a déclaré sur Instagram qu’elle était inspirée par la “beauté délicate et la résilience” de la fleur, et a noté que l’espèce est souvent représentée dans l’art traditionnel letton.

Portelli, une agent immobilier, a enfilé une combinaison noire scintillante ornée de papillons colorés. Elle portait également des ailes aux couleurs de l’arc-en-ciel qui dépassaient de ses manches à franges.

Elle a partagé sur Instagram qu’elle avait choisi son costume pour sensibiliser à la diminution des espèces de papillons et de mites à Malte en raison de la surconstruction de l’île. Quant aux teintes multicolores, elles représentent le fait que Malte est un espace sûr pour la communauté LGBTQ+ et qu’elle accueille l’Europride 2023.

Mannequin diplômée en informatique, Bo portait un haut blanc avec des accessoires dorés, une jupe longue, des claquettes étincelantes et une pièce dorsale en forme d’arbre avec de l’argent accroché à chaque branche.

Sur Instagram, Bo a expliqué qu’il y a une tradition bouddhiste au Myanmar appelée “arbre de la vertu”, dans laquelle les gens font don de leurs économies aux monastères lors des festivals culturels. Elle a écrit que son costume est censé refléter “quelqu’un qui se pare pour la cérémonie et qui est prêt à faire de bonnes actions”.

Pour son costume, Flores, qui est psychologue, s’est inspirée des hiboux, qui protègent les êtres magiques dans la culture mexicaine, selon un extrait de l’émission en direct qu’elle a partagé sur Instagram.

Elle portait une canne qui ressemblait à un masque de hibou, tandis que sa coiffe était ornée d’ailes. L’ensemble du costume était recouvert de couleurs vibrantes et de textures.

Uiras, mannequin et stratège marketing, est montée sur scène vêtue d’un soutien-gorge brodé, d’un collier en cristal et d’une jupe ornée d’une tête d’animal factice.

L’animal en question était un Oryx diamantin, une espèce de gemsbok souvent utilisée comme symbole de la “beauté sauvage et de la résilience de son peuple” en Namibie, comme l’a écrit Uiras sur Instagram.

Lorsqu’elle est apparue pour la première fois sur scène, Kollé ressemblait à une tulipe traditionnelle néerlandaise, portant des leggings verts et étincelants ainsi qu’un haut en forme de pétale qui lui couvrait le visage.

Mais lorsque elle a appuyé dessus, le haut en forme de fleur s’est épanoui et a révélé un haut sans bretelles aux couleurs arc-en-ciel – un clin d’œil à son statut de première femme transgenre couronnée Miss Pays-Bas.

Palacios, qui détient un diplôme en communication de masse, portait un body bleu et noir scintillant avec une traîne froncée pour le concours de costumes. Mais c’est la coiffe verticale et les ailes assorties s’étendant de ses yeux qui la rendaient vraiment remarquable.

Comme elle l’a partagé sur Instagram, le costume de Palacios s’inspire du Zanate Nica, également connu sous le nom de mainate du Nicaragua, qui est indigène à son pays. Jorge Salazar Caliz l’a rendu vivant.

Comme Ihezue l’a partagé sur Instagram, chaque aspect de son ensemble, composé d’un body sculpté, d’une coiffe et d’une canne, a été conçu pour rendre hommage à une reine nigériane spécifique : la reine Moremi, la reine Idia et Amina, reine de Zazzau.

Elle a également précisé que la pièce arrière pointue représente leur héritage au Nigeria. Kennedy Jhon Gasper a conçu cette tenue.

En plus de participer à Miss Univers, Ihezue s’est déjà classée dans le top 15 de Miss Monde en représentant le Nigeria.

Vargas, qui est titulaire d’un diplôme en journalisme, a fait référence à la chanson “Le Tambour de la Joie” avec son costume, comme elle l’a partagé sur Instagram.

Sa coiffe et sa pièce arrière colorées étaient ornées de notes de musique et de représentations d’instruments, ainsi que de fleurs de l’Esprit Saint, la fleur nationale du Panama.

Daniel Cortina a conçu l’ensemble de Vargas.

Comme elle l’a partagé sur son Instagram, le costume étincelant d’Orrego célèbre Agustín Barrios Mangoré, un célèbre guitariste classique paraguayen.

Une guitare surdimensionnée et sertie de bijoux reposait sur le dos d’Orrego, de même que deux drapeaux paraguayens. Son ensemble de style bikini scintillant comportait également les couleurs de son pays, et elle portait un drapeau indiquant “por amor al arte”, ce qui signifie “pour l’amour de l’art”.

Orrego a remporté précédemment le concours de Miss Amérique latine du Monde en 2017.

Escribens, une ancienne championne d’athlétisme, a défilé sur le podium dans un ensemble de bikini doré et bleu sarcelle avec un énorme élément dorsal composé d’une série de pointes formant un cercle. Elle portait deux lances assorties qui formaient un masque lorsqu’elle les mettait devant son visage.

Escribens a déclaré sur Instagram que cet ensemble avait été conçu pour ressembler au Tumi, un couteau utilisé pour les chirurgies par les anciennes civilisations des Andes, qui sert maintenant de symbole du tourisme au Pérou. Beto Pinedo a créé sa tenue.

Le dos de Dee a été conçu pour ressembler à un avion, avec des ailes et des réacteurs ornés des couleurs du drapeau des Philippines, comme elle l’a partagé sur son Instagram.

Une fresque des Philippines a été peinte sur le dos des ailes, et des éléments d’avion étaient placés au centre de sa combinaison, faite du motif “solihiya” populaire dans certaines parties de son pays.

Dee, qui est une entrepreneure, portait également une casquette de capitaine et une cravate pour donner l’impression de piloter un avion, ainsi que des bottes avec des ailes à l’extrémité. Michael Barassi a conçu la tenue.

Acevedo, qui est modèle et étudiante en psychologie, s’est transformée en la région de Borinquén de Puerto Rico avec son costume.

Sa robe de style sirène bleue semblait être faite de briques bleues, tandis que l’élément dorsal reproduisait le paysage de la ville, avec des bâtiments individuels.

Frederick, enseignante, a partagé sur Instagram que son costume était inspiré des deux lauréats du prix Nobel de Sainte-Lucie, son pays ayant le plus grand nombre de lauréats par habitant.

Sa combinaison dorée se transformait en un énorme élément dorsal en forme de parchemin et de bagues, et elle portait également une jupe détachable. Francisco Guerrero a conçu la tenue.

Puhova, mannequin et styliste, portait une mini-robe noire avec des motifs floraux dorés en trois dimensions sur le décolleté et l’ourlet de la robe, assortis à son imposant élément dorsal.

Comme elle l’a dit sur Instagram, les motifs floraux dorés font référence à son île natale, Rye Island, car ils ressemblent à du blé.

Santen, qui travaille dans l’industrie bancaire, a utilisé les couleurs emblématiques rouge, bleu et jaune des uniformes de la Garde suisse et les a transformées en une combinaison festive, qu’elle a associée à un casque scintillant et à des bottes rouges ornées de plumes.

Un dosseret formant la bannière de la Garde suisse complétait le look. Jiovanny Navarrete Vera a conçu la tenue.

Porsild, qui a étudié la communication, a défilé dans un haut de soutien-gorge, une jupe et une coiffe fortement perlés avec une longue tresse qui tombait depuis le sommet.

Elle a déclaré sur Instagram que la tenue avait été conçue par Kamolrose Thunphirom pour représenter “La déesse d’Ayothaya” et ressembler aux statues du royaume d’Ayutthaya en Thaïlande.

Gillezeau, pharmacienne, s’est déguisée en ibis écarlate pour le concours de costumes, mais s’est également inspirée des moko jumbie, des marcheurs traditionnels sur échasses, comme elle l’a partagé sur Instagram.

L’ensemble entièrement rouge était recouvert de rubans qui ressemblaient à des plumes, et le dosseret formait une tête d’oiseau surdimensionnée qui flottait au-dessus de sa tête réelle. Des échasses rouges scintillantes complétaient l’ensemble, et Gillezeau a défilé avec elles.

Douglas John a conçu la tenue.

Comme Usanova, guérisseuse et instructrice de yoga, l’a déclaré sur Instagram, l’idée derrière son costume était la “mère protectrice”, incarnation des mères essayant de protéger leurs enfants en Ukraine pendant sa guerre avec la Russie.

Sa combinaison bleue et dorée servait de base pour les rubans de tissu bleu qui entouraient son corps et flottaient au-dessus de sa tête, et elle portait un modèle doré d’un bébé avec des ailes.

Un coiffure dorée complétait l’ensemble bleu. Ensemble, les couleurs du costume font également un clin d’œil au drapeau de l’Ukraine.

Voigt, qui étudie le design d’intérieur, a associé une combinaison ornée de cristaux avec un dosseret accrocheur qui présentait des modèles de différents monuments américains, tels que la Statue de la Liberté, le Monument de Washington et la Route 66.

Un drapeau rouge, blanc et bleu servait de cape, et ses épaulières et ses bottes étaient ornées de motifs de feux d’artifice.

Silva, hôtesse de l’air, a donné vie aux Dancing Devils of Yare avec son look de concours de costumes nationaux, comme elle l’a partagé sur Instagram.

Les Dancing Devils of Yare est un festival annuel célébré au Venezuela, où les danseurs portent des masques similaires à celui que Silva a descendu le podium.

Sa combinaison semi-transparente semblait être couverte de flammes rouges, et son dosseret écarlate donnait également l’illusion du feu. Richard Ramírez Castro a conçu la tenue.

Comme l’a partagé Hoa, un modèle, sur Instagram, il est courant au Vietnam que les gens pratiquent le Dao Mau, ce qui se traduit par le culte de la déesse mère.

Son ensemble entièrement rouge était composé d’une robe ample, d’un coiffe surdimensionnée et de chaussures rouges, célébrant la mère. Conçu par Chu Thi Hong Anh, la tenue était également brodée de fleurs de lotus.

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