Après des années à vivre la nuit, voici comment j’ai commencé à me coucher plus tôt.

Après des années de vie nocturne, voici comment j'ai réussi à me coucher plus tôt.

Ivan Gener

Je m’appelle Emma, et je suis une procrastinatrice nocturne en convalescence.

Ma nuit se résumait autrefois à grignoter, faire défiler mon téléphone, regarder la télévision – tout ce que je pouvais faire pour retarder un peu le coucher. C’était ma façon de récupérer mon emploi du temps après des journées particulièrement chargées.

Il est indéniablement important de prendre du temps pour se détendre et se relaxer après le travail – mais j’en ai abusé pendant un certain temps. Passer autant de temps le soir devant des écrans (qui sont connus pour inhiber la production de mélatonine et perturber les rythmes naturels du sommeil) ne faisait que m’inciter à veiller de plus en plus tard. J’ai passé des années en pensant que j’étais une “chouette de nuit” avant de réaliser que ce n’était pas le cas : la technologie me trompait simplement en me faisant croire que je n’étais pas si fatiguée alors que, en réalité, mon corps avait besoin d’un coucher plus précoce.

Cela n’est pas surprenant, étant donné que la lumière joue un rôle prépondérant dans la régulation de nos rythmes circadiens. Et comme je l’ai récemment appris de la psychiatre holistique Ellen Vora, certains d’entre nous y sont plus sensibles que d’autres. Vora a précédemment partagé avec VoiceAngel qu’elle se considérait également comme une “chouette de nuit” avant de réaliser qu’elle était simplement particulièrement sensible à la lumière après le coucher du soleil.

“Si je vois de la lumière le soir, cela supprime ma mélatonine et je peux me sentir éveillée pendant des heures. Si j’obtiens les bons signaux lumineux le soir (c’est-à-dire l’obscurité après le coucher du soleil plutôt que le spectacle lumineux psychédélique de la vie moderne), je peux être somnolente à un moment approprié”, écrit Vora. Qui d’autre peut se reconnaître dans cela ?

Il m’a fallu un certain temps pour identifier mes déclencheurs d’énergie et me rapprocher de mon véritable rythme de sommeil. Je suis encore loin d’être parfaite, mais voici les changements qui m’ont été les plus utiles pour rompre avec mon ancienne identité de “chouette de nuit” :

Comment j’ai arrêté d’être une si grande “chouette de nuit”

J’ai remplacé le temps passé devant la télévision par des activités hors écran

La première étape pour retrouver mon rythme de sommeil naturel a été de réduire le temps passé devant les écrans. Bien que j’apprécie toujours occasionnellement un épisode de télévision avant de me coucher, je le fais rarement ; c’est plutôt un plaisir occasionnel. À la place, j’ai essayé de passer à des activités de détente hors écran comme la lecture, la conversation avec mon partenaire ou les tâches ménagères dans mon appartement. Il m’arrive parfois de devoir terminer un travail sur mon ordinateur avant de me coucher ; lorsque cela se produit, je porte ces lunettes bloquant la lumière bleue pour minimiser la perturbation de ma mélatonine.

J’ai arrêté de boire autant de café après midi

Réduire ma consommation de café a également fait une énorme différence dans mon emploi du temps de sommeil. Je pensais autrefois être l’une de ces rares personnes qui ne perdent pas leur sommeil après avoir bu de la caféine tard dans la journée. Eh bien, même si ce café de 16h ne me rendait pas plus difficilement endormie, j’ai réalisé qu’il réduisait la qualité globale de mon sommeil une fois que j’ai commencé à utiliser un suiveur de sommeil.

Maintenant, je consomme la plupart de ma caféine avant midi grâce à une astuce contre-intuitive : j’attends 90 minutes après mon réveil pour prendre ma première tasse, permettant à mon corps de se réveiller naturellement et réduisant ainsi le besoin d’un coup de pouce dans l’après-midi. Cela a considérablement amélioré la qualité de mon sommeil et m’a aidé à me sentir plus fatiguée en fin de journée.

J’ai commencé à prendre du soutien pour le sommeil+

Le changement le plus significatif que j’ai apporté est d’intégrer le soutien pour le sommeil+ à ma routine.

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Un sommeil profond et réparateur dont vous avez toujours rêvé*

Ce complément pour le sommeil combine trois ingrédients relaxants : le bisglycinate de magnésium, le jujube et le PharmaGABA®. Le prendre environ 30 minutes avant d’aller me coucher m’a aidé à m’endormir plus rapidement et à rester endormi plus longtemps. (Lisez tout sur les résultats que j’ai obtenus après une semaine de prise ici.)*

Ce complément a eu un effet positif en m’aidant à me réveiller plus tôt le matin en me sentant plus rafraîchi. Cela signifie également qu’à 23 heures, je suis constamment fatigué et prêt à me coucher. J’ai également constaté que j’ai plus envie de me glisser sous les couvertures – et moins tenté par des épisodes non regardés de Bravo – maintenant que je sais à quel point une nuit de sommeil réparateur peut vraiment être bénéfique.*

Alors que je suis encore loin d’être une personne du matin (j’y travaille), ces changements m’ont aidé à établir une routine de sommeil plus régulière qui se synchronise avec mon corps.

La conclusion

Il n’y a rien de mal à être un couche-tard ; certaines personnes prospèrent naturellement avec des horaires qui commencent et se terminent plus tard dans la journée, et c’est parfaitement normal. Nous sommes tous uniques, mais après des années d’une routine de coucher chaotique, j’ai réalisé que je me sentirais personnellement beaucoup mieux si je commençais à aller me coucher un peu plus tôt. Limiter ma consommation de café, remplacer le temps passé devant la télévision par d’autres activités et prendre du soutien pour le sommeil+ m’ont aidé à le faire. Regarder le coup de minuit est maintenant un souvenir lointain – et cela ne me manque vraiment pas du tout.